Réécris le contenu comme suit :
Une mobilisation queer malgré un contexte tendu
À l’approche du Christopher Street Day (CSD) à Berlin, la plus grande manifestation LGBTQIA+ en Allemagne, l’événement a failli être annulé en raison du retrait de plusieurs sponsors, notamment américains, en raison du climat « anti-woke » aux États-Unis. Grâce à une campagne de financement participatif, l’événement a pu être maintenu in extremis.
Le drapeau arc-en-ciel banni du Parlement
Pour la première fois, aucun drapeau arc-en-ciel ne flottera devant le Bundestag lors du CSD, la décision de la présidente étant de préserver la « neutralité » politique. Cette décision a suscité une vive polémique, mettant en lumière un durcissement du climat politique en Allemagne.
La riposte arc-en-ciel dans les campagnes de l’Est
Dans les régions rurales de l’Est allemand, la communauté LGBTQIA+ fait face à des difficultés, étant la cible de groupuscules néonazis lors de marches des fiertés. En réponse, des activistes ont créé un réseau solidaire pour promouvoir la diversité.
Des défilés solidaires prévus cet été
Un réseau de militant·e·s prévoit d’organiser une cinquantaine de marches des fiertés pour soutenir celles et ceux qui doivent cacher leur identité par crainte des violences, surtout dans les localités où l’extrême droite est présente. La solidarité est au cœur de leur action.
Des soutiens de Berlin
Des initiatives comme Pride Soli Ride facilitent le transport des militant·e·s vers les zones rurales pour renforcer les mobilisations locales. Une plateforme nommée CSD verteidigen met en relation les personnes souhaitant participer à une marche de la fierté pour contrer la menace fasciste.
Violences et menaces persistantes
Malgré les efforts de solidarité, les attaques continuent. Des actes violents perpétrés par des néonazis lors d’événements LGBTQIA+ témoignent d’un climat de tension persistant. Les activistes restent mobilisés jusqu’à la fin de la saison des événements, conscients de devoir compter sur leur propre force.
Italian 
French